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Robin Vandeweyer, le nouveau COO de TRIXXO Jobs à la parole
25 mai, 2021
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La bonne personne au bon endroit. C’est le moins que vous puissiez dire sur Robin Vandeweyer. Il a été nommé COO de TRIXXO Jobs au début du mois de février. « J’assure le lien entre le siège social et les agences », décrit-il. Sa mentalité pratique et ses compétences en communication lui seront des plus utiles. « Mon objectif pour cette année est d’organiser le travail afin que les collègues des agences n’aient plus qu’à s’occuper de leurs intérimaires. Depuis Hoeselt, nous devons nous charger du support. »

  • Nom : Robin Vandeweyer 
  • Âge : 32 ans
  • Origine : Hoeselt 
  • Résidence actuelle : Bilzen 
  • Relation : Marié
  • Enfants : Père d'Axelle (20 mois)
  • Études : Master en sciences économiques appliquées
  • Carrière : 8 ans chez Lidl, 1 an chez Friesland-Campina, depuis février 2021 chez TRIXXO
  • Loisirs : Vélo, football en salle et toujours prêt pour une partie de padel tennis

Quel est votre parcours ?

Mes parents sont indépendants. J’ai constaté dès le plus jeune âge que la structure est très importante et qu’il faut fixer des priorités pour atteindre des objectifs définis. Avant ce poste, j’ai longtemps travaillé chez Lidl. C’est une entreprise allemande. Très fortement structurée, à la virgule près. L’avantage, c’est que tout le monde savait parfaitement ce qu’il avait à faire et à qui il devait s’adresser en cas de problème. De la transparence sur tous les fronts, et c’est ce que je veux réaliser chez TRIXXO Jobs, sans perdre l’esprit familial et chaleureux. Dans cette optique, le terme central est le « feedback ». Il peut être négatif ou positif, mais il faut fournir un feedback.

À quoi voulez-vous vous attaquer concrètement ?

« Parfois, il s’agit de choses simples comme tenir à jour l’organigramme et les répertoires téléphoniques. Ce n’est jamais important, sauf quand vous en avez besoin. La circulation de l’information est aussi un sujet qui mérite une attention particulière. Pour l’aborder, nous avons mis en place une nouvelle structure de réunions, y compris des entretiens en tête à tête afin d’améliorer la communication mutuelle. Je voulais aussi visiter toutes les agences sur mes premières semaines pour avoir une image concrète de chacune. C’est fait !

Le facteur plaisir est-il important ?

Tout à fait. Et il faut d’abord une bonne ambiance au travail. De mon point de vue, cela passe principalement par une bonne coordination entre le siège et les agences. Hoeselt ne peut pas être une tour d’ivoire, les agences ne peuvent pas être des îles. Et lorsque le travail est bien fait, nous avons de bonnes occasions de rigoler ensemble aux moments opportuns. J’ai cru comprendre qu’avant le coronavirus, les fêtes étaient monnaie courante. Nous devrions certainement retrouver cette habitude de célébrer nos succès en équipe !

Comment TRIXXO Jobs peut-elle encore progresser ?

Il faut d’abord que les intérimaires et les clients se sentent bien chez nous, nous devons être leur partenaire de confiance. Nous devons être un partenaire qui respecte ses engagements. C’est aussi une question de fierté. C’est lié à la réputation de notre marque. La fierté doit aussi exister parmi nos intérimaires, qui doivent transmettre ce sentiment quand ils arrivent chez un client par notre intermédiaire. Nous entretenons aussi cet état d’esprit par des actions. Cette semaine par exemple, nous avons rendu visite à un client pour le remercier de sa confiance et lui avons offert un petit cadeau. Vous voyez, ce sont de petites choses qui font une vraie différence.

Quel impact la crise du coronavirus a-t-elle sur le fonctionnement de TRIXXO Jobs ?

Cette crise nous donne l’occasion de montrer que notre approche qualitative fait vraiment la différence. La situation présente aussi des opportunités. Nous accompagnons nos intérimaires avec des formations et les suivons de A à Z. L’objectif est toujours un emploi fixe. Cette approche nous donne un label de qualité dans le secteur et il est clairement apprécié par les clients comme par les intérimaires.

« L' option contrat fixe » est-elle un élément clé de votre fonctionnement ?

Sans aucun doute. C’est aussi la première chose que nous disons à nos intérimaires. Nous voulons les guider sur une voie qui mène à un contrat permanent. Le client sait aussi qu’il s’agit d’une condition préalable à la présentation d’un candidat potentiel.

Visez-vous aussi des acquisitions ?

Oui. C’est important pour augmenter le chiffre d’affaires, mais aussi pour innover en acquérant de nouvelles connaissances sur certains segments. Nous créons ainsi des partenariats qui peuvent nous aider à progresser. Trixxo Jobs veut croître année après année et ce pour 2/3 de croissance organique et 1/3 d’acquisitions. Ici, nous misons principalement sur les Pays-Bas.

Quand passerez-vous à la Wallonie ?

Pas encore cette année, mais en 2022, nous voulons franchir le pas vers le sud du pays. Heureusement, nous pouvons compter sur le réseau d’agences de notre grand frère, TRIXXO Titres-services. Mais pour l’instant, nous avons fort à faire avec la Flandre et les Pays-Bas. Cette année, 10 agences ouvriront en Flandre, et nous prévoyons encore des reprises et 3 nouvelles agences aux Pays-Bas.

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